Alec | Il riflesso della tua anima | Ended [by Nessie]

« Cameron Bright »

© OMG!

Alec Antonio
Volturi

370 ans; 15 ans d’apparence. ;

Volturi

Annihile un ou tous les sens d'une personne qu'elle soit humaine, vampire ou lycan.

•• Il était une fois  ••

« Jane !! Jane !!
- Quo.. »

Elle n'eut pas le loisir de terminer sa phrase qu'une motte de terre s'écrasa sur ses cheveux blonds coiffés en deux couettes. Ses yeux s'ouvrirent en grand tandis qu'elle entrouvrait la bouche, avant de se baisser sur ses petites jambes pour attraper de la terre à son tour et viser le tronc d'arbre d'où était partit la première attaque.
Un petit cri lui indiqua que son agresseur avait reçu son cadeau, surtout quand elle l'entendit grommeler à sa façon alors qu'il frottait ses cheveux bruns de ses petites mains. Se redressant, il attendit que la jolie petite blonde soit encore penchée, pour préparer sa deuxième attaque, et quitta son repère pour contourner les arbres et se jeter sur la fillette, la poussant dans l'herbe.
Surprise, elle émit un léger cri en l'attrapant par la manche, l'entraînant dans sa chute. Dégringolant la légère pente en des roulés-boulés, leur chute se stoppa quand la fillette se retrouva à plat ventre dans l'herbe humide et que le garçon - lui - se retrouva le cul dans une flaque d'eau boueuse.
Se dévisageant, les deux gamins, fort semblables, se tirèrent la langue, exagérant leur colère quand le petit brun pointa la position de sa soeur du doigt, et qu'elle fit de même. Tout deux partir d'un même rire amusé, leurs traits se déformants en une grimace de bonheur. Leurs joues rondes remontèrent légèrement alors que leurs lèvres rouges s'agrandissaient en sourire, celles de la fillette plus pleines que celle du garçonnet.

« Maman va te gronder Alec.
- Toi aussi !!
- Oui mais toi plus parce que tu as sali ton bas.
- Et toi tu as la même coiffe que Tante Ornella. Na ! »

Il posa ses mains sur sa bouche pour retenir un rire, tandis que Jane s'offusquait, croisant les bras d'une mine boudeuse après s'être relevée pour commencer à regagner le chemin de la maison. Fallait dire que leur tante n'avait rien d'enviable. En plus de sentir le rance, elle avait toujours ses cheveux arrangés en des coiffes étranges et peu agréable à voir .. Et puis, elle était connue pour sa légendaire moustache qui avait été objet des cauchemars du garçon pendant des mois, surtout parce qu'elle le traumatisait à l'embrasser sur les joues, en bavant légèrement.
Fronçant ses sourcils, le petit Alec se redressa à son tour, s'aventura dans le sens opposé pour arracher une fleur de sa terre et retourner auprès de sa soeur en courant le plus vite possible sur ses petites jambes. Se plaçant devant elle, il lui tendit, les pommettes rosies par l'effort, tandis que la blondinette grimaçait, se forçant désormais à faire sa mine boudeuse. Ne résistant plus, elle attrapa son jumeau par le cou, enroulant ses petits bras, potelés de l'enfance, pour lui embrasser la joue en riant de bon coeur.
Des jumeaux. De sacrés garnements dans leur ville de Salem. Surtout des sacrés phénomènes et des enfants enviés. A cette époque, il était rare qu'une femme survive à l'accouchement, il fut donc encore plus étonnant que la mère survive mais qu'en plus, les deux jumeaux s'en sortent indemne.
Si ils faisaient la fierté de leurs parents, de part leur charme naturel et leur apparence frôlant la perfection, ils faisaient aussi l'horreur de leur mère. Elle s'était imaginé qu'élever un enfant serait un jeu d'enfant, ainsi, lorsqu'elle avait accouché des jumeaux, il lui avait semblé impossible de venir à bout de leurs mauvais tours. Ils étaient plein de vie, c'était le moins qu'on pouvait dire, mais parfois leur excitation les faisait faire les pires âneries.
Cela allait du vase, préféré de leur mère, brisait en morceau au pauvre fils du voisin ridiculisé par leurs plaisanteries aux goûts parfois douteux, en passant par d'étranges apparitions de terre dans lieux publiques.
En plus d'être de vilains garnements, ils étaient les plus unis de tous les enfants possédant des frères ou des soeurs. N'étant pourtant pas de vrais jumeaux - l'un étant un garçon, l'autre une fille - ils en possédaient pourtant toutes les caractéristiques. Complémentaires, unis, protecteurs .. Si Jane étaient celle qui se faisait le plus remarquer, Alec restait souvent dans son ombre pour mieux l'observer et le surveiller. Si l'un s'occupait parfois de préparer les plans de leurs prochaines bêtises, l'autre s'assurait que la chose était possible et ainsi de suite.
Malgré qu'ils ne soient pas vraiment ressemblant physiquement, leur caractère et leur complicité en faisaient les jumeaux parfaits. Jane et ses cheveux blonds comme le blé attirait les regards de la gente masculine avant d'avoir atteint un certain âge. Alec et ses cheveux bruns, s'il attirait les regards des filles, s'évertuait à se montrer inaccessible, sans jamais donner de faux espoirs aux demoiselles. Si sa soeur s'amusait parfois de sa beauté, son frère veillait à ce que ce jeu ne dépassa jamais les limites. Car oui, il était - et est encore - très jaloux quand aux regards des autres sur sa moitié. Si certains y voyaient quelque chose de malsain, tout était parfaitement normal dans son esprit. Sa jane, sa douce Jane lui appartenait autant qu'il lui appartenait. Après tout, ils possédaient ce qu'aucun autre n'avait la chance d'avoir; un double, une âme jumelle.

Ainsi donc, en grandissant, Alec vécut de plus en plus mal les changements qui s'opéraient aussi bien chez lui que chez sa soeur. Même si cela restait presque imperceptible, il voyait bien que le corps de sa soeur changeait, qu'elle devenait une femme. Et lui aussi devenait, peu à peu, un homme, bien que chez lui, les changements se firent plus visibles. Ce visage rond d'enfant bon en chair, s'était vu légèrement modifié. Sa mâchoire se faisait plus visible, sa pomme d'Adam aussi et les muscles qu'il gagnait en aidant son père dans les champs lui donnaient la carrure d'un presque homme. Tout ceci l'inquiétait, car il devinait aisément ce qui suivrait ces transformations. Sa soeur atteindrait bientôt l'âge pour s'unir à un autre homme et il la perdrait.. A jamais.
Et lui aussi devrait bientôt s'unir à une jeune femme. Surtout que sa mère s'était mise ne tête de leur trouver la perle rare. Chose peu difficile quand la beauté des jumeaux faisaient parler les habitants.
En grandissant, Alec se voyait devenir jaloux et possessif, supportant très peu de voir sa soeur au bras d'hommes bien que cela fut rare. Sous l'amour qu'il lui portait en tant que frère, il y avait cette passion pour la femme intelligente qu'elle devenait et cette moitié de lui dont il ne se voyait pas séparer.
D'ailleurs, il supportait très mal les séparations, qu'elles fussent courtes ou longues.
Séparations qui s'intensifiaient puisque le jeune homme s'absentait parfois des jours avec son père pour travailler, sa soeur ayant désormais interdiction de les rejoindre. Bien qu'il appréciait ces moments intimes avec son père, il ne cessait de souffrir de la distance, suffoquant parfois du manque de sa soeur.
Jusqu'à parfois en avoir des vertiges.

« Alec ? Fils ? »

Le regard du garçon se perdait dans le vide, s'arrêtant parfois de faire ce qu'il faisait pour que son regard chocolat se fige sur la lisière des bois. Sa peur d'être séparé de sa soeur s'était intensifiée depuis quelques semaines, surtout qu'il avait remarqué qu'un homme étrange rôdait dans les parages. Plusieurs fois il avait tenté d'en avertir les adultes, mais trop habitué à l'entendre dire des âneries, on ne le prenait au sérieux.
Pourtant, ce jour-là, il lui avait semblé qu'il tenait sa chance de prouver qu'il ne mentait pas et que cette homme aux yeux étrangement rouge existait. Sous les yeux d'un père inquiet, il avait lâché ses outils pour courir à la poursuite de cet homme, s'aventurant dans les bois pour le perdre de vue.
Pendant trois jours, les hommes avaient cherché Alec pour le trouvé, affalé contre un arbre, perturbé par quelque chose qui leur échappait. Il n'avait même pas semblé les avoir entendu, comme devenu sourd.
Lorsque les deux hommes de la famille étaient rentrés au domicile familiale, aucun d'eux n'avait parlé de cet événement, ne désirant pas inquiéter inutilement leurs femmes. De toute manière, cet événement lui avait échappé quand il avait retrouvé sa soeur, complétant cette moitié de lui qui avait semblé disparaître en son absence.
Pourtant, les retrouvailles ne semblèrent pas satisfaire leur mère qui se mit en tête, cette fois-ci, de les forcer à assister à ce bal populaire. Fête organisée par il ne savait qui, dont l'intérêt lui avait toujours échappé. Ce qu'il savait, c'était qu'il n'avait jamais voulu y mettre les pieds, tout comme sa soeur. Pourtant, cette fois-ci, ils y assisteraient, pour la première et dernière fois.

La soirée avait bien commencé, bien qu'Alec fut resté près de sa soeur, excepté quand des jeunes filles doués d'une force inquiétante l'attiraient à elles. Ecourtant sans arrêt ces têtes à têtes, il avait retrouvé sa soeur aux prises avec des hommes qui avaient déclenché un dégoût et une colère en lui qu'il ne se serait jamais cru capable de ressentir.
Comment osaient ils salir sa douce Jane de leurs mains de pervers ?
Préférant calmer sa soeur, qui avait plus de facilité à la colère que lui, Alec avait tenté de l'éloigner, mais les choses prirent une tournure qu'il n'avait pas envisagé.
Comment aurait il pu penser que son amour inconditionnel pour sa soeur, les mèneraient à cette histoire.

« Vous les voyez vraiment comme des frères et soeurs, vous ? Avez vous déjà vu Alec tenir la main d'une autre fille que Jane ? »

Le sang du jeune homme n'avait fait qu'un tour alors que son coeur avait semblé rater un battement. Cette sensation d'être poignardé en plein coeur l'avait presque étourdi, tant la colère avait accéléré la circulation de son sang au niveau de ses tempes. Si il avait voulu réagir, il s'était contraint à fuir, à les laisser parler, jusqu'à ce cri. Ces cris. Des cris de douleur qui lui brisèrent les tympans, si douloureusement qu'il appuya ses paumes sur ses oreilles pour faire cesser les cris.
C'était Jane. Lorsqu'Alec posa son regard sur elle, il ne vit que ses traits déformés par la douleur qu'elle infligeait et qu'elle s'infligeait par la même occasion. Etonnamment, le jeune homme n'eut pas peur de ce qu'elle faisait, il lui sembla que ce qui se produisait était logique, comme si au fond de lui, il avait toujours eu cette sensation qu'ils étaient différents.
Attrapant sa soeur, il l'avait serré contre son coeur tandis qu'elle perdait connaissance et que les adultes intervenaient.
Salem, la chasse aux sorcières. Jane, une sorcière. Lui n'avait rien fait mais lorsqu'on lui demanda ce qu'il s'était passé, il avoua avoir participé. Il mentit, jura qu'il était à l'origine des pouvoirs de sa soeur et avoua même que ce dont on l'accusait été vrai. Désirer un être, du même sang que soit, plus qu'on ne l'y était autorisé été un péché et même considéré comme être le diable. Alors il exagéra ses sentiments pour sa soeur. Il les menaça, joua le rôle qu'on lui avait d'hors et déjà attribué; celui du jumeau sorcier.
Et puis, Alec sans Jane ? C'était comme le Jour sans la Nuit. Il n'avait pas lieu d'être. Plutôt mourir avec sa soeur que vivre sans elle.
Ainsi, il avait refusé qu'un autre que lui porte sa soeur encore évanoui. Ils avaient été conduit au bûcher dans les heures suivantes, le temps qu'un petit procès - visant à les juger coupable, sans défense - soit mit en place et que la sentence soit donnée.
Ils allaient finir comme ils avaient commencé - eux enfants du démon - par les flammes.
Le jeune garçon s'étonna de la rapidité avec laquelle le bûcher fut dressé, explication qui lui fut donnée par un prisonnier; des sorcières avaient été brûlé plus tôt dans la journée.
Jamais Alec ne leur fit le plaisir de trembler. Ce fut la tête haute qu'il se laissa attaché à son poteau et qu'il fixa le bourreau dans les yeux, sans faillir. Jusqu'à ce que Jane revint à elle. Il sentit la peur de sa douce jumelle envahir son coeur et ne put se sentir à même de supporter cette souffrance. Si bien qu'il évita de croiser son regard, sentant sa présence à ses côtés, cette chaleur humaine lui suffisant.
Son regard suivit chaque mouvements du bourreau jusqu'à ce que les flammes s'élèvent. C'était presque drôle pour lui, qui avait toujours eu peur du feu. Peur qui avait prit naissance lorsqu'un jour, son père avait fait brûler des herbes mortes sans prévenir Alec qui s'était retrouvé face aux flammes. Pendant des semaines, il avait refusé de dormir, de peur d'être brûlé dans son sommeil .. En effet. C'était dérisoire de voir son cauchemar se réaliser et en même temps, il lui semblait que c'était là l'unique façon de remédier à sa peur.
Les flammes s'élevèrent et il distingua le visage de ses parents. Les yeux rougies de larmes de sa mère et son père, brisé et fier de lire le courage sur le visage de ses enfants, jusqu'à ce que ce mur de feu ne les fasses disparaître.
Ce fut Alec qui commença a brûler, son corps lentement effleurer par la chaleur, sensation qu'il n'oublierait jamais. A côté, la douleur de la transformation lui avait parût douce.
Les flammes léchèrent sa peau, alors que, sans un cri, il se murait dans le silence pour sombrer dans l'inconscience, étouffant et mourant à petit .. feu.

« Calme toi mon garçon. »

La voix se fit douce, tendre et à la fois amer, alors que la sensation des flammes sur sa peau réveillaient chaque parcelle de son être en une souffrance lui faisant frôler la folie. Secouant la tête, se cambrant, il poussa un cri déchirant alors que l'homme redressait la tête, retirant ses lèvres sa clavicule d'où un peu de sang s'échappait.
Le feu qui semblait lui brûler la peau devint intérieur et il lui sembla que de la lave coulait dans ses veines pour se durcir lentement, consumant son coeur tel un phoenix prêt à renaître de ses cendres.
Alec perdit la notion du temps, mais à son réveil, l'homme était toujours là, ses yeux rubis ancrés dans les siens qui avaient désormais cette même teinte, en plus foncés. Une nouvelle douleur le prit, moins violent cependant. Ce fut seulement sa gorge qui le brûla légèrement, comme une démangeaison.
Mais au-delà de la fin, c'était la peur pour sa jumelle qui avait prit le pas sur le reste. Devinant sans doute ses pensées, l'homme aux manières presque royales, le mena dans une pièce où se trouvait le corps de sa soeur. Au vue de sa peau blanche, Alec la crut morte jusqu'à ce que son "créateur" lui explique. Jane. Sa douce Jane.
Ils était nés en même temps, le garçon sortant le premier pour attendre sa soeur quelques minutes. Ils avaient vécu ensemble. Et voilà qu'ils renaissaient l'un avec l'autre, Alec se réveillant le premier encore une fois. Présent pour accueillir sa jumelle qui ne tarda pas à le rejoindre dans cette nouvelle éternité.

« N'aies pas peur ma soeur, il est notre sauveur. Il nous a offert cette seconde chance. »

« Ne t'avais je dont pas dit que même la mort ne nous séparerait pas ? »

Ainsi, les jumeaux furent parmi les premiers à intégrer la Garde de la famille Volturi, constituée alors des trois "frères" Aro, Caïus et Marcus et de quelques vampires.
Ce ne fut que quelques années plus tard qu'Alec apprit que cet étrange être qu'il voyait souvent roder dans les parages, de son temps humain, n'était autre que celui qui lui avait offert cette nouvelle vie, ayant senti le potentiel des jumeaux.
Le frère et le soeur traversèrent les siècles aux côtés des Volturi, se faisant rapidement une réputation, étant sans doute considéré comme les deux gardes les plus puissant de la famille de part leurs dons qu'ils eussent vite fait d'apprendre à contrôler aux vus des siècles qu'ils vécurent.
Jusqu'à ce que leur réputation soit entachée par la création d'une espèce jugée comme aberration par le jeune homme; les hybrides.
La relation tendue entre Cullen et Volturi eut vite fait de dégénérer jusqu'à ce que les italiens soit ridiculisé devant ces végétariens et ces modificateur. Cette défaite laissa place à un esprit de revanche dans le coeur mort du jumeau, jusqu'à devenir étonnement en voyant un jour trois cullen débarquer sur leurs terres.
Plus encore ? Aro se mit en tête d'offrir l'hybride à Alec. Si le petit brun y vit là une chance de prendre du grade, il n'a en réalité que peu d'intérêt pour la jeune fille, n'ayant jamais été réellement intéressé par le sexe opposé. De toute façon, sa seule préoccupation - encore maintenant - reste la sécurité de sa soeur. En revanche, il s'amuse beaucoup de ce "présent" que représente Nessie et sait très bien par quelles moyens la faire céder. Après tout, il n'est pas l'un des pires Volturi pour rien.

© crédit

PRÉNOM/SURNOM ; Pow

AGE 19 siècles .. euh .. années --'

POURQUOI CE FORUM ET PAS UN AUTRE ? Parce que le design et le contexte m'ont plus !! Et qu'Alec était libre

FRÉQUENCE DE CONNEXION ; 5/7 je préfère mettre moins, mais je suis toujours là. Excepté des fois où je risque d'être connecté mais pas présente . Enfin je me comprends

CODE DU FORUM ;
Spoiler:

Bienvenue parmi nous Alec, et merci de ton inscription, si tu as des questions n'hésite pas... Et surtout sois gentil avec ma nièce...

Bienvenue ^^

Alec | Il riflesso della tua anima | Ended [by Nessie] 6797

Mon frèreeeeeeeee !
* saute de joie * se calme *
Bienvenue parmi nous.
J'adore ton histoire et cela ne me dérange pas le moins du monde que tu te sois aidé de la mienne. Je sers à ça puisque je me suis inscrite avant. Ce que tu as écrit me parait cohérent.
J'espère que tu t'amusera bien ici.
Et qu'on s'entendra bien =)

Alec | Il riflesso della tua anima | Ended [by Nessie] 63841

Moi, je le trouve bien ton paragraphe.

C'est pas bon le kangourou. Je suis juste fatiguée, c'est tout. Puis, c'est parce que c'est toi. <3
Elle me plait beaucoup. Surtout la dernière phrase. Alec | Il riflesso della tua anima | Ended [by Nessie] 814642

Alec | Il riflesso della tua anima | Ended [by Nessie] 814642

valide

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