Fiche de Reversal

Les Hommes grandissent, mûrissent et ont se besoin de se sentir vivre, exister. Ils sont en quête d’indépendance et cela se traduit de manière aussi diverses que folles. Certains partent du cocon familiale et optent pour une piaule étudiante, d’autres choisissent de partir à l’étranger le temps d’une année pour se changer les idées, découvrir autre chose. Les Hommes sont déraisonnables par nature, ils ont se besoin de liberté qui parfois peuvent les mener à leurs pertes.

Il a perdu sa famille à l’âge de sept ans. Son père, sa mère et la petite sœur qui était encore à l’état de fœtus. On nous rie au nez quand on dit que la route tue, et pourtant chaque année le nombre de mort augmente. Le sang envahis le bitume. Il est entouré de sa famille, a grandit chez sa marraine en France et pourtant, il se sent plus seul que jamais. Edward. Edward à l’âge de prendre son envol. Il a l’âge d’être un homme et il a choisis de repartir aux Etats Unis. Si être loin de son pays natal l’avait préservé pendant son enfance, il avait se besoin de retrouver ses racines. C’est à Forks qu’il a passé les premières années de sa vie, à Forks qu’il garde les pires mais aussi les meilleurs souvenirs de sa vie. C’est Billie-Jean et Liams ses cousins, qui l’accueilleraient à Forks. Edward aurait le choix, partager l’appartement avec eux ou récupérer la maison familiale des Masen qui lui revient de droit.


D’un côté une histoire aussi triste que malheureusement banale, de l’autre une sortie des pires contes et légendes oubliés. Ils sont aussi beau qu’effrayant et ils voient en vous uniquement le sang qui coule dans vos veines. Ils sont mystérieux, charismatiques, mystiques, mythiques mais surtout irrésistibles. Ce qu’on ne sait pas, ce que les légendes ne nous raconte pas, ces que ces sang froids ne sont pas tous foncièrement mauvais.

Certains ce sont installés à Forks. Cette petite ville perdue parmi tant d’autres semble attirer un bon nombre de ces familles un peu particulières. Ce qu’ils chérissent le plus ici, ce n’est pas le sang des habitants de la ville mais l’absence de soleil quasiment chaque jours de l’année. Ils ne sont pas comme les autres, eux se nourrissent de sang animal, du moins la majorité. Quatre familles de vampires font parler d’elles. Oh bien sûr, personne ne sait ce qu’ils sont réellement, mais tout le monde en parle. Tout le monde chuchote sur leurs passages. Tout le monde y va de sa petite rumeur. Tout le monde est en réalité captivé. Eux s’effacent et observe. Les Cullens, les O'Neils et les DeComté ont choisis de vivre dans la paix. Ces familles amies depuis des siècles ont choisis de mener une vie des plus tranquilles, tandis que les Volturi viennent mettre leurs grains de sel. Ennemis depuis toujours, la sérénité que connait Forks risque d’être mise en péril.


Le verbe « aimer » est le plus compliqué de la langue : son passé n’est jamais simple, son présent n’est qu’imparfait et son futur toujours conditionnel. Tout le monde à connu un jour le courroux de l’amour. Que ce soit l’amoureux des bacs à sable, celui à qui on donne la main à l’école où le premier qui nous fait vibrer sur les bancs du lycée … Rien n’est plus fort que l’amour. Il est bien souvent déraisonnable, nous fait perdre tout contrôle sur nous même. Il nous fait pousser des ailes, faire tout et n’importe quoi … Surtout n’importe quoi.

Le destin à voulu que le regard d’Edward Masen croise celui d’Isabella Cullen. Ce regard intense n’a rien de romantique, puisque quelques minutes plus tard, Bella partait comme une furie au volant de sa volvo. Lui, il était captivé et les regards assassin des autres membres de sa famille qui changeait rien, les conseils de ses cousins et des amis de ces derniers non plus. Oui car voyiez vous, ils lui avaient dit, à Edward, que ces gens là étaient inaccessibles, qu’ils ne se mêlaient pas aux autres. Dommage, car lui semblait bien décider à la connaître, cette dite Isabella Cullen. Elle était la première depuis son arrivée à lui faire oublier le temps de sa contemplation la douleur immonde qu’il ressentait à l’idée d’être dans la ville où il avait vécu un bonheur parfait, les sept premières années de sa vie.